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  Ce film n'est autre que la vie foireuse de Llewin Davis,

 un  chanteur de folk des 60's. On le suit

 pendant une semaine, où il rate tout ce qu'il

 entreprend. Depuis que son ami avec qui il formait un

 duo s'est suicidé, la musique ne marche plus pour lui,

 il est   donc en perpétuelle recherche d'une

 maison de production. Jean, la femme de son

 meilleur ami -  Jim Burkey, musicien, qui lui, réussit

(Justin Timberlake) - avec qui il a déjà couché, lui annonce qu'elle est sans doutes enceinte de

lui. Elle lui en veut à mort, et ne s'en cache pas (Carey Mulligan est épatante dans ce rôle qui lui

va à merveille). Pendant tout le début du film, il est accompagné par un chat roux, auquel on

s'attache et auquel il s'accroche, mais finit par le perdre alors qu'il n'est pas à lui... 

    

La loose lui colle à la peau, mais il ne lâche rien. Oscar Isaac joue un personnage adorable, plein

de charme, qui lutte. Sans oublier son réel talent de musicien, car c'est vraiment lui qui chante

dans le film. Malgré quelques longueurs et une fin un peu plate, ce film est, on peut le dire,

un bon Cohen. L'univers, la réalisation, les dialogues sont au rendez-vous. Le grand prix au festival

de Cannes est mérité.

Quand je vois leurs visages si expressifs, l'émotion me submerge. Comme un renvoi direct à

l'ambiance du film La vie d’Adèle. Je ne fais pas cet article pour parler du film en lui-même, mais

pour avant tout vanter le jeu mirifique de Léa Seydoux et d' Adèle Exarchopoulos. Bien que le

thème m'ait remuée, que je sois rentrée dans l'histoire dès le début, qu'il y ait eu quelques instants

époustouflants ; ce que j'en retiens est surtout leur prestance prodigieuse. L'une est gracieuse,

mystérieuse ; l'autre est naturelle, sauvage. Toutes deux suscitent une telle émotion qu'on en

ressort bouche bée, bousculé... profondément touché.

 En ce dimanche, je suis allée voir, comme vous pouvez le deviner... BLUE JASMINE, le nouveau

Woody Allen. C'est vrai, sur ce blog, j'ai souvent l'habitude de faire l'éloge de ce que je

publie. Mais aujourd'hui, je vais plutôt vous faire part de ma légère déception. Bien que Cate

Blanchett interprète son rôle à merveille, ce film, selon moins, tombe dans les clichés : une femme,

qui a toujours eu une vie confortable, perd tout du jour au lendemain. Elle a toujours tout misé sur

son apparence et sur l'image qu'elle renvoie, elle ne supporte donc pas d'être démunie de biens et

d'argent. Le scénario est dépourvu d'originalité (même si il n'y en a pas toujours besoin) ; les

dialogues ne sont pas aussi décalés que d'habitude, ce qui n'est pas digne de ce si

talentueux Woody Allen. Certains moments sont un peu longs, on a une impression de tourner en

rond. Par contre, l'idée de l'alternance entre le passé et le présent est bien trouvée, cela apporte un

peu de piquant à l'histoire ; et les couleurs sont superbes. Pour conclure, on peut tout de même

dire que le film - dans l'ensemble, décevant - est sauvé par le très bon jeu des acteurs.

Je l'ai vu à l'instant, sur la 2. Marine Vacth, une actrice qui joue dans le film "Jeune & jolie" de François Ozon, qui sortira le 21 Aôut. Elle est magnifique, et

surtout a l'air d'être vraiment douée. J'attends le film avec impatience...

     

Bon... mon dernier blog date de 2011, quelque chose comme ça... et faut avouer

qu'il était pas top, alors c'est pour ça que j'ai refait celui-ci. Bref, premier article !

Pour inaugurer ce blog, je vais commencer par parler de... cinéma.

J'adooooore ça, alors je vais vous présenter un petit court métrage qui m'a

beaucoup plu. Non seulement je le trouve très bien réalisé, mais en plus,

mon mannequin préféré, Solweig Lizlow, y figure. Je trouve qu'il fait passer

beaucoup de messages, sans être trop long ni trop lourd. 

E N J O Y !